Avec l’avènement des ordinateurs, des logiciels permettant de créer et d’optimiser un visuel, l’infographie s’est imposé comme un métier à part entière. En quelques mots, l’infographie est la création d’un visuel pour apporter une information en quelques secondes. Dans le secteur professionnel, l’infographiste travaille aussi bien pour des marques, dans la publicité et création de logos, que pour l’événementiel, avec l’application d’images de synthèse. Détaillons tout cela ensemble.
Le terme « infographie » nous vient tout droit des États-Unis, là où ont été créés les premiers ordinateurs. C’est un combiné entre les termes américains « information » et « graphics ». Mais avant cela, l’infographiste avait trouvé sa place dans la création de visuels statiques, à savoir l’établissement de diagrammes, de schémas, ou encore dans la cartographie. Les plans et informations que cela à apporter était davantage important que le graphisme en lui-même. Et d’un seul coup d’oeil, le public percevait la donnée qu’il fallait retenir.
Avec la numérisation des images, sur les chaînes de télévision et sur le web, l’infographiste a dû s’adapter aux nouveaux supports graphiques. Mais avant cela, de grandes marques font appel aux infographistes pour leur créer une identité visuelle. Cela démarre par le logotype. Le client qui s’y réfère permet ainsi de visualiser l’identité et le concept de la société. Ainsi, à travers un flyer, une carte de visite ou la devanture d’un magasin, le public sait instantanément si c’est ce qu’il recherche à l’instant T, ou s’il se sent concerner par l’événement ou le produit en lui-même.
Par une charte graphique pré-établie, l’infographiste permet de créer une réelle identité et un contenu esthétique.
Comme dit précédemment, c’est l’apparition des ordinateurs, du numérique et des logiciels précis qui ont renouvelés et donnés un nouvel élan à cette activité professionnelle. La plupart des infographistes professionnels travaillent sur Illustrator ou encore Photoshop. Outre un gain de temps conséquent, l’infographiste peut davantage optimiser le rendu qui lui est commandé.
Le choix des couleurs, des polices de texte, de l’animation 3D, impression de profondeur de champ ou des dégradés, le tout pour un visuel beaucoup plus formaté et surtout unique. Mais l’infographiste ne travaille pas uniquement pour des supports numériques. Il peut ainsi s’adapter aussi bien au web qu’au print. Il est aisé pour l’infographiste de dupliquer son oeuvre sur des produits dérivés, des flyers, des cartes de visite ou encore des panneaux publicitaires.
La technique de la vectorisation permet également d’adapter un graphisme dans les différentes dimensions appropriées. En prenant l’exemple de la carte de visite ou du panneau publicitaire, la taille du logo ou encore du texte ne sera assurément pas la même. Ainsi, l’image vectorielle permet de ne pas perdre en qualité, quelque soit la dimension recherchée.
Ainsi, s’il fallait résumer le métier d’infographiste, nous dirons que celui-ci est un créatif mettant au service de l’art, l’innovation, et une nouvelle projection vers un graphisme du futur. C’est un peintre des temps modernes cherchant à véhiculer une émotion et une information à travers l’utilisation, non plus d’un chevalet, mais d’un ordinateur.
Infographiste : liaison entre la création et l’information
Le terme « infographie » nous vient tout droit des États-Unis, là où ont été créés les premiers ordinateurs. C’est un combiné entre les termes américains « information » et « graphics ». Mais avant cela, l’infographiste avait trouvé sa place dans la création de visuels statiques, à savoir l’établissement de diagrammes, de schémas, ou encore dans la cartographie. Les plans et informations que cela à apporter était davantage important que le graphisme en lui-même. Et d’un seul coup d’oeil, le public percevait la donnée qu’il fallait retenir.
Avec la numérisation des images, sur les chaînes de télévision et sur le web, l’infographiste a dû s’adapter aux nouveaux supports graphiques. Mais avant cela, de grandes marques font appel aux infographistes pour leur créer une identité visuelle. Cela démarre par le logotype. Le client qui s’y réfère permet ainsi de visualiser l’identité et le concept de la société. Ainsi, à travers un flyer, une carte de visite ou la devanture d’un magasin, le public sait instantanément si c’est ce qu’il recherche à l’instant T, ou s’il se sent concerner par l’événement ou le produit en lui-même.
Par une charte graphique pré-établie, l’infographiste permet de créer une réelle identité et un contenu esthétique.
La révolution numérique
Comme dit précédemment, c’est l’apparition des ordinateurs, du numérique et des logiciels précis qui ont renouvelés et donnés un nouvel élan à cette activité professionnelle. La plupart des infographistes professionnels travaillent sur Illustrator ou encore Photoshop. Outre un gain de temps conséquent, l’infographiste peut davantage optimiser le rendu qui lui est commandé.
Le choix des couleurs, des polices de texte, de l’animation 3D, impression de profondeur de champ ou des dégradés, le tout pour un visuel beaucoup plus formaté et surtout unique. Mais l’infographiste ne travaille pas uniquement pour des supports numériques. Il peut ainsi s’adapter aussi bien au web qu’au print. Il est aisé pour l’infographiste de dupliquer son oeuvre sur des produits dérivés, des flyers, des cartes de visite ou encore des panneaux publicitaires.
La technique de la vectorisation permet également d’adapter un graphisme dans les différentes dimensions appropriées. En prenant l’exemple de la carte de visite ou du panneau publicitaire, la taille du logo ou encore du texte ne sera assurément pas la même. Ainsi, l’image vectorielle permet de ne pas perdre en qualité, quelque soit la dimension recherchée.
Ainsi, s’il fallait résumer le métier d’infographiste, nous dirons que celui-ci est un créatif mettant au service de l’art, l’innovation, et une nouvelle projection vers un graphisme du futur. C’est un peintre des temps modernes cherchant à véhiculer une émotion et une information à travers l’utilisation, non plus d’un chevalet, mais d’un ordinateur.
