Un jeu très simple sur smartphone, permettant de passer le temps dans les transports, a pour but d’associer un logo à une marque. Les visuels de Red Bull, Amazon, Nescafé, Michelin parlent au plus grand nombre. Une simple image peut renvoyer à une marque, un produit. Des infographistes sont à l’origine de ces identités visuelles. Un long processus de réflexion et de création est alors à mettre à l’honneur. En voici les étapes principales.
Le plus souvent, c’est le client qui contacte l’infographiste. Ce client peut être à l’origine d’une marque de produits, de la création d’un événement, ou simplement la volonté de se distinguer lrosqu’il transmet sa carte de visite ou un flyer. Ce visuel doit être adapté à son identité. Ainsi, une charte graphique sera établie entre les deux parties. L’infographiste pourra déjà y apporter quelques idées ou solutions instinctives.
La police de texte, le choix des couleurs, les formes, le produit à mettre en avant. L’ensemble de ces informations sera à prendre en considération tout au long du processus de création par l’infographiste.
Prenons l’exemple d’une enseigne. Celle-ci est spécialisée dans la vente d’un produit bien spécifique. Cela peut être des vêtements, du parfum, des outils, …
L’infographiste recherchera tous les visuels, et surtout les mots-clés se rapportant au concept de l’enseigne. C’est ainsi qu’il visualise dans un premier temps l’identité de la marque et l’image qu’elle renvoie auprès de la clientèle. L’exemple du logo Michelin est assez parlant. Cette marque est spécialisée dans la création et innovation autour des pneus pour automobiles. Les créateurs de ce logo se sont alors appuyés sur le visuel du pneu. Et c’est ainsi qu’est né un homme composé de pneus, et à l’apparence joviale.
1. Premiers essais manuels
L’infographiste est un technicien numérique, mais il n’en reste pas moins un créatif, un artiste. Et le plus souvent, sa passion et sa vocation sont nés de ses premiers essais sur papier. Et il n’en a pas perdu l’habitude. Ces premières esquisses sont alors couchées sur papier. Un simple crayon lui suffira pour donner vie à ses premières idées, ses premières sensations, et l’ensemble des objets ou design se rapportant à l’image qui doit être véhiculée par la marque.
Il prendra également un certain recul, se mettant dans la peau d’un passant lambda, découvrant pour la première fois le visuel proposé. Si lui-même est attiré et comprend l’information qui est projetée, le public ciblé devrait s’y retrouver également.
2. Optimisation sur ordinateur
En numérisant l’esquisse du logo qui lui paraît le plus convaincant, le graphiste devient alors infographiste. Il s’installe devant son poste d’ordinateur, prépare son logiciel, majoritairement Illustrator ou InDesign, et va tenter d’optimiser son visuel.
Il y apportera une police de texte bien précise, éventuellement établie avec le client, les couleurs, les formes, les dégradés, les profondeurs de champ, et potentiellement, une animation 3D ou fausse 3D. Il proposera également la technique dite du visuel vectoriel. Cette méthode permet surtout de ne pas perdre la qualité du rendu en souhaitant agrandir une zone ciblée et adapter le logotype à tous les supports.
3. Un caractère distinctif
L’infographiste a pour seul objectif : communiquer l’image d’une marque par le logo. Ainsi, il faut apporter au visuel un caractère bien distinctif, qui permettra de le reconnaître entre tous. Le logo Red Bull en exemple est parfaitement reconnaissable. Deux taureaux rouges s’affrontant face à face, sur fond d’un soleil couchant ou levant, et un encadré bleu. Le produit en lui-même est une simple boisson énergisante censée redonner du tonus lors d’une journée éreintante. Aucun logo ne ressemble à celui-ci, et les taureaux s’affrontant symbolisent la force, la vigueur et la virilité. Ces caractères distinctifs nous permettent ainsi d’associer rapidement des mots-clés à partir d’un simple visuel et donc, d’y associer la marque et le produit.
Ce travail de longue haleine ne se fait naturellement pas en un jour. Nombreux sont les premiers essais terminant dans la corbeille. Et un choix unique permet de changer l’image de marque renvoyée à la clientèle et la dynamique économique d’une société.
1. Établir la charte graphique
Le plus souvent, c’est le client qui contacte l’infographiste. Ce client peut être à l’origine d’une marque de produits, de la création d’un événement, ou simplement la volonté de se distinguer lrosqu’il transmet sa carte de visite ou un flyer. Ce visuel doit être adapté à son identité. Ainsi, une charte graphique sera établie entre les deux parties. L’infographiste pourra déjà y apporter quelques idées ou solutions instinctives.
La police de texte, le choix des couleurs, les formes, le produit à mettre en avant. L’ensemble de ces informations sera à prendre en considération tout au long du processus de création par l’infographiste.
2. Réflexion autour des informations à apporter
Prenons l’exemple d’une enseigne. Celle-ci est spécialisée dans la vente d’un produit bien spécifique. Cela peut être des vêtements, du parfum, des outils, …
L’infographiste recherchera tous les visuels, et surtout les mots-clés se rapportant au concept de l’enseigne. C’est ainsi qu’il visualise dans un premier temps l’identité de la marque et l’image qu’elle renvoie auprès de la clientèle. L’exemple du logo Michelin est assez parlant. Cette marque est spécialisée dans la création et innovation autour des pneus pour automobiles. Les créateurs de ce logo se sont alors appuyés sur le visuel du pneu. Et c’est ainsi qu’est né un homme composé de pneus, et à l’apparence joviale.
1. Premiers essais manuels
L’infographiste est un technicien numérique, mais il n’en reste pas moins un créatif, un artiste. Et le plus souvent, sa passion et sa vocation sont nés de ses premiers essais sur papier. Et il n’en a pas perdu l’habitude. Ces premières esquisses sont alors couchées sur papier. Un simple crayon lui suffira pour donner vie à ses premières idées, ses premières sensations, et l’ensemble des objets ou design se rapportant à l’image qui doit être véhiculée par la marque.
Il prendra également un certain recul, se mettant dans la peau d’un passant lambda, découvrant pour la première fois le visuel proposé. Si lui-même est attiré et comprend l’information qui est projetée, le public ciblé devrait s’y retrouver également.
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| L'infographiste est aussi un créatif , un artiste, pourquoi faut-il s'adresser à un professionnel pour la création du logo de son entreprise. |
2. Optimisation sur ordinateur
En numérisant l’esquisse du logo qui lui paraît le plus convaincant, le graphiste devient alors infographiste. Il s’installe devant son poste d’ordinateur, prépare son logiciel, majoritairement Illustrator ou InDesign, et va tenter d’optimiser son visuel.
Il y apportera une police de texte bien précise, éventuellement établie avec le client, les couleurs, les formes, les dégradés, les profondeurs de champ, et potentiellement, une animation 3D ou fausse 3D. Il proposera également la technique dite du visuel vectoriel. Cette méthode permet surtout de ne pas perdre la qualité du rendu en souhaitant agrandir une zone ciblée et adapter le logotype à tous les supports.
3. Un caractère distinctif
L’infographiste a pour seul objectif : communiquer l’image d’une marque par le logo. Ainsi, il faut apporter au visuel un caractère bien distinctif, qui permettra de le reconnaître entre tous. Le logo Red Bull en exemple est parfaitement reconnaissable. Deux taureaux rouges s’affrontant face à face, sur fond d’un soleil couchant ou levant, et un encadré bleu. Le produit en lui-même est une simple boisson énergisante censée redonner du tonus lors d’une journée éreintante. Aucun logo ne ressemble à celui-ci, et les taureaux s’affrontant symbolisent la force, la vigueur et la virilité. Ces caractères distinctifs nous permettent ainsi d’associer rapidement des mots-clés à partir d’un simple visuel et donc, d’y associer la marque et le produit.
Ce travail de longue haleine ne se fait naturellement pas en un jour. Nombreux sont les premiers essais terminant dans la corbeille. Et un choix unique permet de changer l’image de marque renvoyée à la clientèle et la dynamique économique d’une société.
